La Fondation Yves Rocher : pour la conservation de la nature

Yves Rocher est connue en tant que marque de produit cosmétique. La fondation portant le même nom participe activement à la protection de la nature. Plus bas, nous allons voir de plus près la Fondation Yves Rocher.

Histoire de la Fondation Yves Rocher

La création de la Fondation Yves Rocher remonte en 1991 suivant le principe du créateur de la marque de Cosmétique : « La Nature est le futur de l’Homme ». Mais la fondation a été créée grâce à l’initiative de Jacques Rocher, le fils d’Yves Rocher. Les produits cosmétiques Yves Rocher, eux-mêmes, sont conçus avec des matières premières d’origine végétale.

L’histoire de la Fondation est marquée par plusieurs dates importantes dont :

  • En 1992 : la participation de la fédération au Sommet de la Terre au Brésil, à Rio De Janeiro. L’objectif de ce sommet étant de renforcer la protection de la forêt amazonienne. 
  • En 2001 : lancement du Prix Terre de Femme attribué tous les ans aux femmes qui contribuent activement à la protection de l’environnement. La même année, la Fondation Yves Rocher est placée sous l’égide de l’Institut de France.
  • En 2004 : elle participe à la préservation du patrimoine naturel de France. Pour cela, elle commence la conservation de quelques jardins historiques notamment le jardin médiéval se trouvant à l’Abbaye de Royaumont.

Les objectifs de la Fondation

La Fondation Yves Rocher s’est fixé un programme baptisé : « Plantons pour la Planète ». Ainsi, elle a pour objectif de planter 100 millions d’arbres jusqu’en 2020. Actuellement, elle est fière de publier qu’elle est parvenue à planter plus de 75 millions d’arbres à travers le monde. Elle n’est donc pas loin d’atteindre son objectif d’ici 2020. Les actions de la Fondation Yves Rocher sont menées dans plus de 35 pays du monde. Pour accomplir ses missions, elle collabore avec une quarantaine d’ONG spécialisés en reforestation dans le monde entier. Elle a déjà contribué à divers projets de protection de l’environnement notamment un pour la reforestation au Brésil et un autre pour la sauvegarde des cèdres au Liban.